Tartare aux épices thaïes, patates douces au four

Oui je sais, je ne publie pas beaucoup ces derniers temps… Que je vous rassure: on ne m’a pas volé ma cuisine, je n’ai pas oublié le mot de passe de mon PC, je ne suis pas à la diète et je regarde toujours Top Chef. Mais juste pas le temps, pas le temps et pas le temps. Pourtant, comme je vous aime d’amour (chantilly power sur vous comme dirait Margaux), je continue d’essayer de dénicher des recettes que tout le monde il vous adore après.

Temps de préparation: 30 minutes

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 300 gr de rumsteak de boeuf coupé en tartare par votre gentil boucher
  • 1 grosse patate douce
  • 1 échalote
  • 1 tige de citronnelle
  • quelques brins de coriandre fraîche
  • quelques brins de menthe fraîche
  • env. 1 cm de gingembre
  • 1/2 citron vert
  • sambal oelek (ou Tabasco le cas échéant)
  • sucre
  • huile de sésame
  • huile d’olive
  • sauce soja
  • paprika
  • fleur de sel et poivre du moulin

Préchauffer le four à 200°. Rincer la patate douce avant de la couper en rondelles pas trop fines. Les disposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Assaisonner avec un peu de paprika, poivre et fleur de sel. Terminer par arroser d’un petit filet d’huile d’olive. Enfourner pour 20 minutes.

Pendant ce temps, peler et hacher l’échalote. Hacher également la citronnelle, les feuilles de coriandre et de menthe. Peler le gingembre et le râper. Rincer le demi citron vert et prélever le zeste avant de la presser.

Dans un bol, mélanger 2 c. à s. de sauce soja, avec 2 c. à c. de sucre et la même chose de sambal oelek (ou quelques gouttes de Tabasco) ainsi qu’1 c. à c. d’huile de sésame. Dans un saladier, mélanger la viande avec cette sauce obtenue. Ajouter finalement les herbes, le zeste, la citronnelle, le gingembre et le jus de citron.

Servir avec les patates douces bien chaudes.

Cailles au vin jaune et cèpes, purée de topinambours au foie gras

Toujours pas d’idée de recette pour votre menu du réveillon ? Je savais que j’allais tomber à point… Voici donc la recette que j’ai servie pour Noël. Attention les papilles, ça déménage ! Ah oui, j’oubliais: si vous avez le foie sensible, prévoyez de petites quantités…

Temps de préparation: 1h30 en tout

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 2 cailles désossées
  • 2 dl de vin jaune (ou autre vin liquoreux)
  • 50 gr de cèpes séchés (ou morilles si vous préférez) réhydratés
  • 25 cl de crème entière
  • 20 gr de beurre
  • farine
  • sel et poivre du moulin

Purée de topinambours

  • 300 gr de topinambours
  • beurre
  • 1 dl de lait
  • 1 petite escalope de foie gras cru
  • fleur de sel
  • poivre du moulin

Commencer par préparer la purée. Pour cela, peler les topinambours le plus proprement possible et les couper en morceaux. Les mettre à cuire dans une casserole d’eau bouillante salée 20 minutes. Vérifier la cuisson en plantant la pointe d’un couteau: quand ils sont tendres, les mixer. Réserver.

Couper le foie gras en petits dés et réserver également.

Préchauffer le four à 180°. Egoutter les champignons. Dans une cocotte, faire revenir les cailles dans le beurre. Saler et saupoudrer de farine. Couvrir la cocotte et l’enfourner pour 20 minutes.

Sortir la cocotte, retirer les cailles et les réserver au chaud entre 2 assiettes creuses. Placer la cocotte sur le feu et faire réduire le jus de cuisson. Ajouter alors le vin jaune et laisser réduire. Remettre les cailles dans la cocotte avec la crème et les champignons. Laisser cuire ainsi encore 5 minutes. Vérifier l’assaisonnement.

Remettre la purée à chauffer à feu moyen et ajouter une noix de beurre, puis le lait. Assaisonner.

Servir les cailles en sauce, accmpagnées de la purée de panais surmontée de quelques dés de foie gras et d’une pincée de fleur de sel.

Ravioles de foie gras en bouillon corsé

Je suis sûre que vous vous dites que je commence vraiment à gatouiller puisque cette recette des ravioles de foie gras figure déjà sur ce blog… Mais cette foie (!), je vous propose une variante, servie dans un bouillon corsé qui apporte quelque chose de vraiment sympa. Sans compter que pour épater belle-maman, vous pouvez servir le bouillon aux convives directement à table avec un pichet: effet garanti !

Temps de préparation: 35 minutes + 10 minutes de cuisson

Ingrédients (pour 4 personnes):

  • 300 gr de foie gras cru, déveiné
  • 6 figues sèches, trempées dans un peu de thé chaud pour les réhydrater
  • 1 échalote
  • 1 c.à s. d’huile d’olive
  • 2 paquets de pâte à ravioles chinoises décongelés (en épicerie asiatique)
  • 1 oeuf
  • sel et poivre du moulin

Pour le bouillon:

  • 1 dl de crème entière
  • 1 cube de bouillon de volaille
  • 2 dl de vin blanc sec
  • 1 petit morceau de gingembre pelé et taillé en rondelles
  • 2 c. à c. de sambal oelek
  • poivre du moulin

Commencer par préparer la farce. Pour cela, émincer finement l’échalote et la faire revenir dans l’huile d’olive avant d’y ajouter les figues hachées menues. Les faire sauter pendant 5 minutes, puis retirer du feu. Saler et poivrer légèrement.

Découper le foie gras en dès d’environ 2 cm de côté (il en faut environ 16). Battre l’oeuf dans un bol.

Disposer une feuille de raviole devant soi et la badigeonner d’oeuf battu avec un pinceau. Puis y déposer une bonne cuillère à café de farce aux figues, puis d’un cube de foie gras. Saler et poivrer. Recouvir ensuite d’une autre feuille de raviole et bien presser les bords. Découper à l’emporte-pièce ou au couteau l’excédent de pâte.

Procéder ainsi de suite jusqu’à obtenir 4 ravioles par personnes. Réserver au frais dans une boîte hermétique.

Préparer la sauce: porter à ébullition le cube de bouillon avec le vin blanc dans une casserole. Laisser réduire. Ajouter  le gingembre, le sambal oelek, 4 dl d’eau et la crème. Ajuster l’assaisonnement et réserver. Juste avant de servir, ôter le gingembre.

Au moment de servir, porter à ébullition une grande casserole d’eau salée. Y plonger les ravioles pendant environ 5 minutes. Les égoutter avec un égouttoir ou une spatule plate (pas en vidant l’eau de la casserole !). Servir arrosé de bouillon corsé.

Parmentier de canard à la courge butternut

Ce qui me plaît par dessus tout dans la cuisine, ce sont les possibilités infinies de « customisation » de recettes cultes. Parce c’est vrai qu’un bon hachis parmentier c’est fantastique. Mais un hachis parmentier revisité au canard et à la courge butternet, j’aime autant vous dire que même les plus récalcitrants y succombent !! A classer dans les best-of, sans hésitation aucune.

Temps de préparation: 40 minutes

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 1 courge butternut
  • 1 échalote
  • 1 magret de canard (sans la peau)
  • 50 gr de gruyère râpé
  • 10 cl de crème
  • 20 gr de beurre
  • huile d’olive
  • 1 pincée de muscade
  • sel et poivre du moulin

Peler la courge, l’épépiner et la couper en morceaux. La faire cuire à la vapeur jusqu’à ce que la chair soit fondante (env 10-15 minutes). Ecraser à la fourchette dans une casserole et la faire cuire à feu doux pour la faire sécher un peu. Ajouter la crème et le beurre et bien mélanger. Assaisonner avec la muscade, sel et poivre. Réserver.

Préchauffer le four à 240°.

Peler et émincer l’échalote. Couper le magrets en morceaux, puis hacher au hachoir. Faire chauffer un peu d’huile dans une poêle et y faire suer l’échalote. Ajouter le hachi de magret et faire cuire 2-3 minutes. Assaisonner.

Sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, monter le parmentier dans des cercles (pas besoin d’en acheter: découper les 2 côtés de boîtes de thon vides, ça fonctionne nickel !): une couche de purée de butternut, une couche de hachis puis une dernière couche de purée. Terminer en répartissant le fromage râpé. Enfourner pour 10 minutes.

Magret de canard farci aux fruits du mendiant et au foie gras

Pas envie de cuisiner de la dinde à Noël (tout le monde n’a pas forcément un régiment à nourrir…)? Mais tout de même envie de servir un bon morceau de volaille aux  saveurs festives? Ne cherchez plus, la recette se trouve ci-dessous ! Franchement, une vraie tuerie. En plus, vous pouvez tout préparer à l’avance afin de n’avoir plus qu’à « oublier » la viande au four le jour J. Merci qui ? Bon d’accord, merci Cyril Lignac.

Temps de préparation: 20 min + 25 min de cuisson

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 2 beaux magrets de canard
  • 4 petites tranches de foie gras mi-cuit
  • 4 pruneaux
  • 4 abricots secs
  • 4 figues sèches
  • 1 c. à s. d’amandes hachées
  • 1 c. à s. de miel liquide
  • thé chaud
  • 1 pincée de mélange « 4 épices »
  • sel et poivre du moulin

Faire tremper les pruneaux, les abricots et les figues dans un bol avec le thé chaud pour les réhydrater (env. 10 minutes).

Préchauffer le four à 200°.

Avec le pointe d’un couteau entailler la graisse des magrets en croisillons, puis les poser sur le plan de travail côté chair vers le haut. Saupoudrer légèrement de mélange « 4 épices », saler et poivrer généreusement puis masser la chair pour bien faire pénétrer l’assaisonnement.

Déposer les tranches de foie gras sur l’un des magrets. Egoutter les fruits secs (qui ne le sont plus d’ailleurs…) et les disposer par dessus le foie gras en les alternant. Parsemer d’amandes hachées et arroser de miel. Refermer avec le second magret (côté chair sur les fruit, of course). Appuyer bien et ficeler en serrant comme un rôti.

Dans une poêle, faire revenir à feu vif le rôti ainsi obtenu pendant 2 minutes, de chaque côté. Placer ensuite dans un plat et enfourner pour 25 à 30 minutes.

A la sortie du four, envelopper le rôti dans une feuille d’aluminium et laisser reposer 10 minutes avant de trancher. Servir avec des nouilles au beurre et une purée de carottes à l’orange.

Gratin de poulet à la mexicaine

Hoy voy a presentarle una receta muy savorosa que hice por pimera vez cuado era estudiente. Oui parce qu’en plus d’être un déesse de la cuisine, je parle aussi quelques mots d’espagnol… Mouah !

Je disais donc que cette recette, découverte lorsque j’étais encore étudiante (celui qui dit « ça fait un bail », il sort), fait partie de celles que je fais le plus souvent, et ce pour plusieurs raisons: ultra simple, très bon marché, rapide, originale et à base d’ingrédients basiques. Que faut-il de plus, je vous le demande ??

Temps de préparation: 30 minutes
Ingrédients (pour 2 personnes):
  • 250 gr de filet de poulet
  • 1 boîte de tomates concassées et pelées
  • 1 c. à s. de concentré de tomate
  • 2 c. à s. de Tabasco vert (= très doux)
  • 100 gr de chips de maïs parfumées au fromage
  • env. 50 gr de fromage râpé
  • huile d’olive
  • sel et poivre du moulin
  • quelques feuilles de coriandre

Préchauffer le four à 200°.

Couper le poulet en émincée fine. Faire chauffer 1 c. à s. d’huile d’olive dans une poêle et y saisir le poulet. Ajouter les tomates concassées, avec le concentré de tomates et laisser réduire. Ajouter le Tabasco et assaisonner. Lorsque le tout a épaissi, monter le gratin comme suit: dans un plat, disposer les chips puis garnir de poulet en sauce avant de rajouter une couche de chips et une couche de poulet. Terminer par le fromage.

Enfourner pour env. 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que le fromage ait gratiné. Au moment de servir, parsemer de coriandre effeuillée.

Servir accompagné d’un guacamole et d’une salade verte.

Emincée de poulet sauce moutarde à l’ancienne

Je ne sais pas si c’est l’automne qui m’a donné cette envie de me rassurer avec une recette d’enfance ou si c’est simplement l’intitulé d’un menu qui m’a rappelé ce plat que j’aimais tant, mais j’ai eu envie de refaire ce poulet que ma Maman faisait parfois. Un certain parfum de tradition qui saura sans aucun doute vous réconforter à l’issu d’une rude journée…

Temps de préparation: 20 minutes

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 2 escalopes de poulet
  • 2 dl de crème
  • 1 c. à s. de moutarde à l’ancienne
  • 1 échalote
  • 1/2 cube de bouillon de volaille
  • 1,5 dl de porto
  • beurre
  • huile d’olive
  • sel et poivre du moulin

Peler et émincer finement l’échalote.

Détailler le poulet en emincée. Dans une poêle, faire chauffer l’huile et saisir le poulet à feu vif pendant 2 minutes avant de baisser le feu et de poursuivre la cuisson ainsi pendant 7 minutes. Débarrasser et réserver.

Dans la même poêle, faire fondre une noisette de beurre et y faire suer l’échalote. Mouiller avec le porto avant d’ajouter le demi cube de bouillon, puis laisser réduire. Ajouter la crème et la moutarde. Saler et poivrer.

Remettre le poulet dans la poêle avec la sauce pour le réchauffer. Servir sur un lit de riz.

Agneau à l’orientale et sa garniture

Une fois n’est pas coutume, je vous propose aujourd’hui une recette aux accents orientaux. L’agneau étant une viande au goût puissant, il est nécessaire de le marier à des saveurs de caractère pour bien le mettre en valeur. J’ai choisi ici de le cuisiner en émincée, préalablement mariné avec une pâte de curry indienne.

Profitez de servir ce plat avec les accompagnements (sauces, salades, pain azyme) à part, pour plus de convivialité.

Temps de préparation: 30 minutes + 30 minutes de marinade

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 300 gr de filet d’agneau
  • pain azyme
  • 2 petites tomates
  • quelques feuilles de salade verte
  • quelques brins d’aneth
  • 1 c. à s. de marinade indienne pour chicken wings ou de tandoori
  • 1/2 pot de séré
  • 1 c. à s. de crème fraîche
  • houmous
  • huile d’olive
  • sel et poivre du moulin

Détailler la viande en cubes. Mélanger la marinade indienne avec 2 c. à s. de séré. Etaler sur la viande et laisser mariner à couvert au frais pendant 1/2 heure.

Rincer la salade et les tomates. Couper ces dernières en petits cubes.

Préparer la sauce à l’aneth. Pour cela, mélanger 2 c. à s. de séré avec 1 c. à s. de crème fraîche. Effeuiller l’aneth et ajouter. Saler et poivrer.

Dans une poêle, faire chauffer 1 c. à s. d’huile d’olive et y faire sauter l’agneau. Servir avec le pain azyme (réchauffé au micro-onde), les légumes, la sauce à l’aneth et l’houmous.

Aiguillettes de poulet laquée et purée de carottes au lait de coco

J’ai vraiment honte de publier une photo aussi laide et vous prie d’avance de m’en excuser. Mais cette recette ayant vraiment été un succès, je me suis dit que j’allais passé au dessus car vous méritez de pouvoir l’essayer.

Mes quelques voyages en Asie ont définitivement laissé une empreinte culinaire en moi qu’il me plaît de mettre à profit lorsque l’envie m’en prend. La recette que je vous propose aujourd’hui fait partie de ces associations dites « fusion », où les épices thaïes se mêlent aux aliments bien de chez nous.

Temps de préparation: 50 minutes

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 300 gr d’aiguillettes de poulet
  • 6 carottes
  • 1 cube de bouillon de légumes
  • 3 c. à s. de lait de coco
  • 1 petit morceau de gingembre
  • 3 c. à s. de sauce soja
  • 1 c. à s. sauce de poisson (nuoc mam)
  • 1 c. à c. d’huile de sésame
  • 1 c. à s. de sucre
  • sel et poivre du moulin

Préparer d’abord la marinade. Pour cela, râper un peu de gingembre et le mélanger à la sauce soja avec le nuoc mam, l’huile de sésame et le sucre. Placer les aiguillettes de poulet dans une assiette creuse et les laisser mariner avec la sauce pendant au moins 30 minutes au frais.

Pendant ce temps, préparer la purée de carottes. Pour cela, peler et couper en petits morceaux les carottes. Les faire cuire dans de l’eau bouillante additionnée du bouillon pendant 25 minutes. Vider l’eau. Mixer avec le lait de coco. Ajuster l’assaisonnement.

Dans une poêle chaude, faire cuire les aiguillettes de poulet avec le jus de la marinade. Si le jus épaissit trop vite, ajouter un peu d’eau.

Servir avec la purée de carottes, arroser du jus de cuisson.

Suprême de pintade laquée au soja et purée de patates douces au piment

Ca a l’air compliqué je vous le concède, mais il n’en est rien, croyez-moi ! Il s’agit là d’un plat aux saveurs surprenantes, idéal pour un dimanche si vous avez des invités par exemple (préparation à l’avance), car il « s’oublie » dans sa cocotte. Alors n’hésitez plus: dégainez votre cocotte en fonte et agitez-vous de la patate ! Et si par hasard vous ne possédez point de cocotte, rabattez-vous sur un plat à gratin que vous prendrez soin de bien couvrir pour la cuisson au four.

Temps de préparation: 45 minutes

Ingrédients (pour 2 personnes):

  • 2 suprêmes de pintade
  • 2 patates douces
  • 1 petite courgette
  • 1 échalote
  • sauce soja
  • sambal oelek (pâte de piment asiatique)
  • 1 carré de Kiri (ou autre fromage crémeux)
  • 1/2 cube de bouillon de volaille
  • huile d’olive
  • sucre
  • sel et poivre du moulin

Faire chauffer le four à 180°. Peler et couper en morceaux les patates douces. Peler et hâcher l’échalote. La faire revenir dans un peu d’huile d’olive dans une grande casserole. Ajouter les patates douces et couvrir d’eau bouillante. Laisser cuire à feu moyen pendant 20 minutes.

Pendant ce temps, préparer les suprêmes. Pour cela, faire chauffer une bonne c. à s. d’huile d’olive dans la cocotte, puis y faire dorer les suprêmes sur chaque face pendant 10 minutes (en tout). Poivrer. Lorsque la peau est bien dorée, ajouter le demi cube de bouillon délayé dans 1dl d’eau bouillante ainsi que 2 c. à s. de sauce soja et 1 c. à s. de sucre. Porter à ébullition. Couvrir et enfourner pendant 15 minutes. Si nécessaire, à la fin de la cuisson, sortir les suprêmes de la cocotte et faire réduire le jus de la cocotte.

Vider l’eau des patates et les réduire en purée avec le Kiri. Ajouter 1 c. à c. de sambal oelek et mélanger.

Couper la courgette en petits dés et l’assaisonner d’huile d’olive, de sel et de poivre.

Dresser la pintade sur un lit de purée de patates douces, accompagnée du tartare de courgettes et terminer par arroser d’un peu de jus de cuisson.